Daturas rue de la Balance (frise en céramique)

Ne pas manquer aux Chalets :

 

En guise d'avertissement pour la journée : la pollution aujourd'hui

ATMO Occitanie - Indice de qualité de l'air

 

A la suite de la pollution importante mi-décembre, puis en janvier, nous remettons en tête de page la vignette indiquant le niveau de pollution à Toulouse, communiquée par Atmo-Occitanie.

 

Outre les niveaux pour les différents composants polluants sur l'ensemble de la région, le site d'Atmo Occitanie indique les conseils à suivre en cas de pollution importante.

L'Association souhaite que les alertes émises soient plus largement relayées par les autorités municipales.

 

Toulouse fait partie des zones polluées incriminées pour la pollution au dioxyde d'azote et aux particules. Une pollution due à 80% au trafic routier dans l'agglomération toulousaine (source : ATMO Occitanie).

 

Principalement à cause des particules fines, la deuxième quinzaine de janvier 2022 a été particulièrement néfaste pour les habitants du département 31 (et 82):
 - 2 jours d'alerte orange,  4 jours d'alerte rouge,

 - et 4 jours en mars.

La pollution est responsable de 9 millions de morts chaque année dans le monde (lemonde.fr du 18 mai 2022)

 

 


Placette Jeanne Bouillane

Femme du commissaire Philippe, Jeanne Bouillane a habité dans la rue voisine éponyme.

Elle a continué à résister après la déportation de son mari en janvier 1943 en participant aux filières d'évasion vers l'Espagne. Arrêtée et déportée six mois après lui, elle est rentrée en France en 1945.

Jean Philippe a été fusillé à Karlsruhe en avril 1944.

 

La placette Julie Jeanne Bouillane a été inaugurée le 16 novembre 2023 par les autorités municipales et celles du quartier en présence d'habitants du voisinage. Merci au photographe qui immortalisa la scène (J-L D).

 

Que penser de l'incinérateur ?

Installé dans le quartier du Mirail, l’incinérateur ne fait pas partie du périmètre de l’association de quartier. Si nous abordons aujourd’hui ce sujet, c’est que nous sommes tous concernés. Construit en 1969, en même temps que la cité nouvelle du Mirail conçue par Candilis, présenté alors comme un équipement innovant, qui transforme les déchets en chaleur, il est aujourd’hui, si l’on en croit les études de l’association indépendante Zéro Waste, l’un des plus gros et plus polluants de France avec des émissions d’oxydes d’azote (NOx) qui dépassent la moitié de l’année la valeur limite réglementaire de 200 mg/Nm3, auquel s’ajoutent les 123 mg/Nm3 de l’incinérateur de Bessières, géré par le même syndicat Decoset. Arrivé en fin de vie, il doit être rénové ou reconstruit pour un investissement compris entre 185 et 350 millions d’euros. La concertation nous présente trois scenarii qui ne nous satisfont pas. Nous affirmons en effet qu’il existe une troisième voie, déjà expérimentée avec succès à Besançon : la réduction drastique des déchets destinés à l’incinération et la baisse de capacité de l’incinérateur.

 

Le réveil du Jardin

Créé en 2011 à l’initiative d’habitants du quartier, le jardin partagé du Verrier est situé dans l'enceinte du jardin public du Verrier, rue Godolin.

Il rassemble aujourd'hui une vingtaine de jardiniers et jardinières qui sèment, plantent, récoltent dans la joie et la bonne humeur.

Car ce petit coin de nature est bien plus qu’un jardin : il a pour but de développer, au travers du jardinage et des activités conviviales, culturelles ou éducatives qui s'y déroulent, des liens sociaux de proximité.

L'Association du quartier Chalets-Roquelaine gère le jardin mis à sa disposition par la Mairie de Toulouse, propriétaire du terrain. Le projet de jardin et les activités qui en découlent sont soumises à une convention de partenariat avec la Mairie.

 

Pour toute information sur le jardin partagé, contactez :

-  Béatrice Ponsolle - beatriceponsolle3109@gmail.com - Tél : 06 70 36 74 75

-  Juliette Lemaître - juliette.lemaitre.1@gmail.com - Tél : 06 84 02 38 79

 

Pour rencontrer les jardinier.e.s, passez au jardin le mardi ou le mercredi, à partir de 18h, et le samedi à partir de 10h.

 

Suite en page Activités

 

 

 


« Dark stores » : l’offensive des grandes villes contre Getir, Flink ou Gorillas

 

Au milieu de l’été, les maires ont craint que l’exécutif fasse passer un texte réglementaire qui catégoriserait en commerces ce qu’ils considèrent, eux, comme des mini-entrepôts, néfastes pour leur tissu urbain.

 

Par Emeline Cazi

 

Publié dans Le Monde le 22 août à 10h35, mis à jour hier à 13h56

 

Temps de Lecture 5 min.

 


 

Il a suffi d’un tweet publié en plein week-end du 15 août, ce moment où le monde politique s’accorde traditionnellement une pause, pour que la plupart des maires des grandes villes de France s’unissent contre le gouvernement. Au cœur du sujet, les « dark stores », ces lieux alloués à la livraison express en centre-ville – « vos courses en quelques minutes », promet la publicité. Subitement, tous ont craint que l’exécutif fasse passer au milieu de l’été un texte qui légaliserait « de fait » en commerces ce qu’ils considèrent, eux, comme des mini-entrepôts, si ces derniers se dotaient d’un « point de collecte ».

 

Lire aussi Article réservé à nos abonnés Les « dark stores », ces supermarchés sans clients et entièrement conçus pour la vente en ligne

 

Or, dans un contexte où tous dénoncent l’essor anarchique de cette activité tournée vers la livraison, les nuisances – sociétales, environnementales, sociales – qui vont avec, et l’absence de moyens suffisants pour endiguer le phénomène, cela passe évidemment mal. Le coup officiel est parti du compte Twitter d’Emmanuel Grégoire, le premier adjoint à la maire de Paris. Mais l’alerte initiale est arrivée de Villeurbanne (Rhône) et Lyon, où les services ont été les premiers à tiquer sur la tournure que prenait la révision de deux textes réglementaires d’urbanisme. L’un concerne l’arrêté ministériel de novembre 2016 qui a trait aux « destinations » et « sous-destinations » de constructions.

 

Un texte essentiel, puisqu’il définit les catégories (bureau, logement, commerce, entrepôt, etc.) dans lesquelles doit être rangée chaque construction sur un territoire. Or, s’alarment les élus, le document à l’étude introduit dans le droit la possibilité pour les dark stores d’être considérés comme des commerces. Face à cette fronde, Bercy et le ministère du logement ont bien tenté l’apaisement. Ce sont des « documents de travail », « la concertation continue », « les élus locaux seront reçus à la rentrée », ont-ils insisté en milieu de semaine, sans grand succès. Soupçonnant la main des lobbys derrière et craignant une lutte d’influence au sein du gouvernement entre les partisans d’une régulation et ceux plus sensibles à l’innovation et à la création d’emplois, quels qu’ils soient, les maires ont préféré frapper plus haut.

 


 

« A l’opposé de ce que nous souhaitons »

 

Six jours plus tard, une lettre partait pour Matignon. Ce courrier, daté du 19 août et adressé à la première ministre, Elisabeth Borne, a fait le tour de France. Paris, Lyon, Villeurbanne, Marseille, Lille, Bordeaux, Besançon, Strasbourg et Montreuil (Seine-Saint-Denis) ont signé. A côté de ces responsables de collectivités de gauche et écologistes, figure Stéphane Beaudet, le maire (Les Républicains, LR) d’Evry-Courcouronnes et président de l’Association des maires d’Ile-de-France, ou encore Patrick Ollier, président (LR) de la Métropole du Grand Paris. A la question des dark stores s’est ajoutée celle des « dark kitchens », ces restaurants dévolus à la livraison.

 

« Veut-on une ville entrepôt, sans vitrines, ou chacun reste chez soi ? », résume souvent Camille Augey, adjointe au maire de Lyon

 

« En l’état », exposent les élus, les textes tels qu’ils sont rédigés « feraient courir le risque aux communes (…) de voir se démultiplier sur nos territoires ces établissements qui, même dotés d’un comptoir d’accueil, n’en resteraient pas moins des entrepôts ou des cuisines opaques ». Or, poursuivent-ils, ce phénomène, dopé par la crise sanitaire et porté par des levées de fonds exceptionnelles, « s’inscrit à l’opposé de ce que nous souhaitons tous, au-delà de nos appartenances politiques, pour nos cœurs de ville ». Le maire (Horizons) de Nice, Christian Estrosi, tenait le même discours au quotidien Le Figaro, le 17 août.

 

Les élus sont à cran, car ces nouvelles activités posent non seulement des problèmes d’occupation de l’espace public, de stationnement, de circulation, mais elles soulèvent aussi et peut-être surtout la question du futur de la ville. « Veut-on une ville entrepôt, sans vitrines, ou chacun reste chez soi ? », résume souvent Camille Augey, adjointe (Europe Ecologie-Les Verts) à l’emploi et à l’économie durable du maire de Lyon. Une cité où on ne se croise plus, où les tomates, les œufs, le savon, le melon se choisissent depuis son canapé, derrière un écran ?

 

Lire aussi : « Dark stores » : les grandes villes interpellent Bercy

 

Ou veut-on d’« une ville vivante, avec des boutiques ouvertes, le boulanger qui fait son pain, le marchand de journaux qui vend ses journaux », comme décrit au Monde le nouveau ministre chargé du logement et de la ville, Olivier Klein, contraint, avec cette polémique estivale, de clarifier sa position. « Ces vitrines fermées vingt-quatre heures sur vingt-quatre, devant lesquelles attendent des scooters et des vélos, ça n’est pas ma vision de la ville, ou d’un centre-ville, assure-t-il. Je ne suis pas certain non plus qu’on ait besoin de recevoir une brosse à dents en treize minutes. » Pour autant, le problème est là, « ne le nions pas », insiste celui qui est aussi maire de Clichy-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. « Cela peut aussi répondre à certains besoins », notamment « dans les quartiers périphériques ».

 

Demande de clarification juridique

 

« A la rentrée », il s’engage à recevoir les élus, aux côtés d’Olivia Grégoire, la ministre déléguée au commerce et à l’artisanat. « Un travail approfondi pour définir, collectivement, ce que sont ces différents produits – dark store, dark kitchen, quick commerce » doit être mené, pour donner « des outils juridiques appropriés » aux maires et aux présidents d’intercommunalité. Car c’est à eux que revient le soin de dire si telle activité ou telle autre a le droit de s’installer ou non, et à quel endroit, sur un territoire. Il faut aller vite, insiste l’association France urbaine, porte-parole des vingt-deux métropoles et grandes villes de France.

 

Lire aussi : Article réservé à nos abonnés La livraison de courses en quelques minutes peine à tenir ses promesses

 

Depuis décembre 2021, elle demande cette clarification juridique. Beaucoup d’argent public a été investi pour tenter de recréer un tissu de proximité, et même de l’argent de l’Etat, à travers les plans Action cœur de ville et Petites villes de demain. « Tout ceci ne peut pas être fragilisé, balayé d’un trait, à cause de l’arrivée anarchique de ces nouveaux acteurs », insiste Lionel Delbos, conseiller économie territoriale de l’association. Chaque semaine qui passe, c’est le risque de voir Getir, Flink, Gorillas – lesquels assurent répondre à un nouveau besoin de société – continuer leur expansion sans respect, parfois, des règles en vigueur. Paris en sait quelque chose.

 

« Un travail approfondi pour définir, collectivement, ce que sont ces différents produits » doit être mené, affirme Olivier Klein, ministre chargé de la ville

 

Traumatisée par l’invasion des meublés touristiques Airbnb, puis par celle plus récente des trottinettes en libre-service, elle était cette fois bien décidée à canaliser le phénomène dès ses débuts. A l’automne 2021, constatant que la plupart des locaux ne respectaient pas les règles d’urbanisme – à Paris, sont notamment, aujourd’hui, considérés comme entrepôts des locaux où la zone de stockage occupe plus d’un tiers de la surface –, elle dressait une première série de procès-verbaux. Des échanges ont eu lieu. Certains ont joué le jeu, acceptant de fermer ou de se déplacer. D’autres ont simplement répondu que la réglementation n’était pas adaptée à leur activité et que l’Etat allait réguler tout ça.

 

« Nous allons les prendre à la gorge, leur mettre une pression de dingue », promettait Emmanuel Grégoire, en juin, même si les premières astreintes financières attendues pour septembre seraient symboliques, puisque plafonnées à 500 euros par jour et 25 000 euros par lieu. La virulence du ton était surtout liée à la crainte, partagée par d’autres, de voir s’engouffrer les acteurs du « quick commerce » dans la brèche ouverte par Bercy au printemps. Dans un mémo de quatre pages, il était expliqué aux élus qu’un dark store est considéré comme un commerce dès lors qu’il dispose d’un point de retrait des commandes. C’est précisément cet argument que reprend et grave dans le marbre le projet d’arrêté dans sa partie la plus controversée.

 

Emeline Cazi

 

 

 

 

Non à l'implantation de 12 "dark kitchens" dans le quartier des Chalets à Toulouse

Douze cuisines « fantômes », d’une surface totale de 400 m2, dédiées à la vente de repas à emporter sont en cours d’installation au 32 bis avenue Honoré Serres. Des repas commandés via les plates-formes Uber Eats, Deliveroo… et livrés par scooters et autres 2 roues ! Les riverains des rues Cabanel, Honoré Serres et l’association de quartier Chalets-Roquelaine s’élèvent fermement contre ce projet générateur de nuisances sonores et olfactives, sans compter la valse quotidienne des livreurs motorisés.

 

Alerté à ce sujet par l’Association de quartier, le Maire nous informe « qu’au nom du principe supérieur de liberté commerciale », il ne peut s’opposer à ce projet.

 

La lettre au président du Conseil Départemental, responsable du collège très proche, est restée sans réponse depuis août, mais un conseiller nous a fait savoir, après avoir été relancé, « qu’il ne pouvait qu'avoir des réticences pour ce type de projet », sans s’engager davantage.

 

Voir le dossier complet

 

 


Actu Toulouse le 24 juin :

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 Toulouse. Dark kitchens, dark stores : face au phénomène des commerces virtuels, la Métropole hausse le ton

Les élus de Toulouse Métropole ont voté à l'unanimité, jeudi 23 juin 2022, un vœu pour installer des zones zéro dark kitchen ou dark store sur le territoire.

 

"Ces entreprises s'appuient sur le modèle économique de l'ubérisation, favorisant le travail des clandestins et la précarité, favorisant la déresponsabilisation vis-à-vis de pouvoirs publics et des habitants, profitant de vides juridiques".

 

Si le vœu a été l’objet d’intenses négociations entre les différents groupes du conseil métropolitain pour parvenir à un texte commun, après plusieurs amendements, les élus se sont unanimement accordés sur un texte final, le fruit d’un compromis. Rappelant que « France Urbaine (l’association qui fédère les grandes villes du pays, ndlr) s’est déjà penchée sur le sujet pour inciter le législateur à s’en emparer », Jean-Luc Moudenc, le président de la Métropole, a salué ce « travail collaboratif intergroupes ».

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L'association Chalets-Roquelaine a été consultée avant le vote sur la rédaction du vœu. Nous considérons qu'il constitue un vrai progrès pour les Toulousains.

Ça ne change rien en ce qui concerne les DK de l'avenue Honoré Serres contre lesquelles nous continuons à  lutter et nous restons vigilants en surveillant l'établissement pour faire constater toute infraction préjudiciable aux habitants. N'hésitez pas à nous en signaler si vous en êtes témoin.

 


Brèves

Le journal Le Moniteur nous apprend le 4 juin 2022 :

 

Le tribunal administratif de Toulouse a rendu son jugement le 2 juin 2022 et rejeté le recours introduit par quatre associations (Non au gratte-ciel de Toulouse-Collectif pour un urbanisme citoyen, Droit au Logement 31, Amis de la terre Midi-Pyrénées, France Nature Environnement Midi-Pyrénées) et trois particuliers, contre le permis de construire.
Lors de l’audience du 20 mai dernier, le rapporteur public avait conclu au rejet de cette requête en annulation, pointant notamment que les demandes des associations étaient irrecevables. Un point que la cour n’a pas retenu.

Dans son jugement, le tribunal administratif a néanmoins « écarté l’ensemble des moyens des requérants critiquant l’évaluation environnementale qui avait été menée. (…) et considéré que le projet de " tour Occitanie " pouvait être inclus dans le champs de l’évaluation environnementale menée pour l’ensemble de la phase 1 du projet " Grand Matabiau-Quais d’Oc " ».

 

Les requérants envisagent de faire appel...

     ... info reçue en vacances :

Nos associations vont déposer dans les prochains jours un pourvoi en Cassation auprès du Conseil d'État à  Paris sur le délibéré du 2 juin 2022 du Tribunal administratif de Toulouse concernant notre recours en annulation du permis de construire de la tour Occitanie.
Nos avocats toulousain et parisien estiment qu'il y a des erreurs de droit dans le délibéré du Tribunal administratif de Toulouse.
Ce pourvoi en Cassation auprès du Conseil d'État à  Paris s'ajoutera à l'appel, que nous avons fait auprès de la Cour d'appel de Bordeaux sur notre autre recours contre la modification du Plan Local  d'Urbanisme de Toulouse (absence de logements sociaux et réduction du stationnement vélos dans le projet de la tour Occitanie) .
Excusez-nous pour tous ces détails juridiques ; n'hésitez pas à nous demander des précisions par mels ou par téléphone.
Nous avons besoin de vos adhésions et de votre soutien pour financer ces 2 procédures  juridiques en cours,  qui ont jusqu'à  maintenant fait reculer le promoteur et la mairie de Toulouse depuis 2018.

 

 nonaugrattecieldetoulouse@laposte.net

 

 

 

 

 

 

 

UN FÉVIER D’AMÉRIQUE


« Le févier d’Amérique, Gleditsia triacanthos, est un arbre étalé au port léger qui porte de grandes gousses couleur acajou très décoratives et parfois de très longues épines acérées ». Celui-ci a été planté au bout de la rue des Chalets, en arrivant bd Matabiau. (Merci ooureka, qui indique que les fèves sont mangées par le bétail, et, séchées, servent de colorant et de médicament...)

 

BICYCLIT’

 

un atelier de réparation vélo féministe… et bien plus encore.
Oui, vous avez bien lu : féministe. Déjà, cet atelier cosy est tenu par une femme, Lila, et un non-binaire, Guillaume. C’est peu dire qu’il s’adresse beaucoup aux fem-mes et minorités de genre (mais pas que…). Par son nom déjà (oui, vous avez bien compris), par son ambiance bienveillante, et parce qu’il reste encore beaucoup de clichés à déconstruire. Bicyclit’ est militant.e, allez lire leur site, vous verrez : www.bicyclit.fr
18 rue du printemps, du lun. au sam. 9h30-13h30/15h-18h30 - 09 72 61 57 49 -
 atelier@bicyclit.fr
Réparation - Vente de vélos d’occasion - Initiation à la mécanique - Boisson chaude offerte.
01.07.22 : échange + concert avec Ghost on the wire pour les 1 an de l’atelier.

 

 

ESA Toulouse, association bénévole d’aide aux devoirs
Installée à Toulouse depuis vingt ans, notamment à Bagatelle, cette association nationale accompagne bénévolement dans leur scolarité les enfants que leurs parents ne peuvent ni aider, ni faire aider, faute de connaissances nécessaires et de moyens financiers. Elle souhaite aujourd’hui se déployer sur les quartiers du centre-ville. La formule : un accompagnement individuel de l'élève tout au long de l'année scolaire à raison d'une heure par semaine à son domicile. L’ESA Toulouse s’appuie sur 160 « mentors » étudiants, actifs ou retraités. Qu’il s’agisse d’un besoin d'accompagnement ou d’une offre de bénévolat, contactez Patricia -
toulouse@entraideamicale.org

 

 

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Promenades

Malgré le covid, ou plutôt à cause de lui, on vous propose des promenades tranquilles dans le quartier.

Profitez-en, le quartier a été bâti en grande partie autour du début du 20ème siècle, période très riche de décorations architecturales .

 

Vous pouvez aussi proposer des parcours !

Promenade sur l'autre rive du Canal

Promenade proposée par Alain Roy

 

On n’y va jamais ou presque, le bruit de la circulation est trop décourageant. Avec des écouteurs diffusant une musique apaisante vous pourrez profiter du canal, très joli en automne, de ses canards et de ses berges pleines de surprises si on cherche un peu.

 

 

La passerelle Négreneys

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Promenade sur les pas de Laporte Blairsy

Promenade proposée par J-L Ducassé

 

Il y a deux statues dans notre quartier, œuvres d’un même sculpteur Léo Laporte-Blairsy. Né le 5 avril 1865 à Toulouse, il a été l’élève à l’école nationale supérieure des beaux-arts de Paris de deux autres toulousains célèbres Alexandre Falguière et Antonin Mercié. D’emblée, il est curieux de constater que la rue qui relie physiquement les deux œuvres est la rue Alexandre Falguière : hasard ou volonté délibérée ?

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Rue Claire Pauilhac

 

 

Extrait du n° 102 de la Gazette (été 2020).

 

Les plaques incriminées ont été changées au printemps suivant. La Gazette 106 s'en est fait l'écho.

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Promenade : les céramiques des Chalets

Extrait de la Gazette n°100 :

 

 

Sans trop d’inspiration pendant l’été 2020, l’Association cherchait un thème nouveau pour la visite du quartier prévue le 12 octobre. Sans le savoir, Malik l’imprimeur, en nous offrant la couleur pour ce centième numéro, nous a aiguillés vers les céramiques : quoi de plus coloré pour en profiter ? Merci à Malik, et merci aussi aux habitants qui nous ont offert, parfois sans le savoir eux aussi, ces magnifiques décorations qui donnent à beaucoup de façades ce cachet particulier aux maisons nées au début du 20ème siècle.

 

Visite


Échos

N'oubliez pas les sites voisins :